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Les Concours de La Cuisine de Bernard

Catégorie : Non classifié(e)

Premier concours: Décembre 2010
Gagnantes ex-aequo: Cybione et Jux




Premier concours sur la « Cuisine de Bernard »!!  Hotels.com vient de me contacter pour réaliser un concours qui vise à faire gagner à l’un de mes lecteurs, deux bons d’achat d’une valeur de 100€ chacun!! Et pour ceux qui se le demandent, non je ne touche pas un centime dans ce jeu! Tout est pour vous! Alors venez découvrir comment participer! Il suffit de répondre à la question posée dans ce billet… Le gagnant, par sa réponse, sera choisi par quelques amis qui m’aideront et moi-même!! Venez vite découvrir comment participer car le gagnant sera choisi le 18 décembre et les bons doivent être utilisés avant le 22…! 

Pour gagner ce concours, il suffit de répondre à la question suivante:

« Quelle est votre meilleure et votre pire expérience culinaire jamais vécues en France ou à l’étranger? »


Il vous suffit de laisser votre réponse sous la forme d’un commentaire (ci-dessous) signé d’un pseudonyme (que tous les lecteurs du blog connaitront). Tout de suite après, envoyez un autre message, par e-mail, à l’adresse suivante:  pour que je puisse identifier et rentrer en contact avec le gagnant. 



Il faut laisser votre réponse ICI (dans les commentaires) ET par mail pour confirmer votre pseudo!! 



La réponse la plus drôle, originale ou créative sera élue!! 


Voici quelques éclaircissements sur ces bons: 

– Les bons d’achats sont valides jusqu’au 22 décembre 2010, (le gagnant doit réserver avant le 22 décembre 2010, mais peut voyager jusqu’au 21 Mars 2010.)

– Les bons d’achats sont des codes digitaux envoyés directement au gagnant par email. 

– Les 2 bons d’achats ne peuvent être utilisés ensemble pour la même réservation. Cependant, ils sont utilisables sur les Promos d’Hiver, soldes et réductions.

– Le gagnant sera choisi avant le 18 décembre 2010.

– Le gagnant doit résider en France.

– Les bons d’achats sont utilisables pour réserver des séjours en France ou à l’étranger (dans tous les pays où Hotels.com a des hôtels référencés). Il y a quand même quelques exceptions qui sont listées dans les termes et conditions, voir ci-dessous.

‘Selon règlement en vigueur T&C Hotels.com


26 commentaires:



Mafaldrela a dit…

Mafaldrela : La pire expérience : le gratin de papaye verte en Guadeloupe. La meilleure expérience : La purée Butternut-chataîgnes dégustée au Quinzième.

13 décembre 2010 21:52 

Anonyme a dit…

Maïté: La pire expérience fut en France dans un gastro ou nous avions choisis en entrée des huîtres chaudes garnies de poudre d’amande!!! Et bien mauvaise pioche, nous avons essayé de faire bonne figure sous le regard de la patronne( en plus elles étaient énormes ces huîtres!) La meilleure fut en Thaïlande: la fameuse Tom kah gaï dégustée dans un petit restaurant sans prétention!

13 décembre 2010 22:20 

Anonyme a dit…

cloclobzh: le plus mauvais souvenir:en Angleterre un pot au feu sans pratiquement de légumes le meilleur souvenir : un beau gateau breton en Allemagne avec une carte postale sur la table la terre , l’eau le feu

13 décembre 2010 23:28 

Clémence a dit…

Meilleure expérience : un dessert inattendu dans une petite auberge à Chypre. Une boule de glace à la vanille enfermée dans une sorte de beignet au miel. Je me suis toujours demandé comment ils l’avaient préparé car le dessert est servi chaud. Une merveille, j’y retournerai rien que pour ça. Pire souvenir : en Thaïlande l’été dernier, un plat merveilleux et fumant arrive, malheur, le cuisinier y avait laissé quelques cheveux. Ca m’a totalement refroidi, je suis partie.

14 décembre 2010 00:05 

Nathalie et Gilles a dit…

La pire ? Un repas « Made in France » à Londres : légumes surgelés pas cuits, viande sans sauce, dans la plus pure tradition… Britannique ? La meilleure ? St Malo : une tarte Tatin… Les mots ne suffisent pas à révéler les sensations découvertes ce jour là…

14 décembre 2010 06:16 

ana a dit…

Mon père a toujours voulu qu’on mange de tout et ce jour là, nous devions goûter avec ma soeur la cervelle d’agneau…très dur ! Je n’arrivais pas à l’avaler et je suis restée à table jusqu’à 15h pour finir mon assiette, centimètre carré par centimètre carré !! Je m’en souviens encore et aujourd’hui, je ne mange définitivement plus de cervelle! Je ne dis pas que ça méthode n’a pas marché pour d’autres aliments…mais pas pour la cervelle d’agneau, ça reste le pire souvenir de mes longues expérience culinaires!

14 décembre 2010 07:23 

Cécile a dit…

Mes meilleur et pire souvenir culinaires tournent autour de la tomate: – le pire est celui d’une pizza à Katherine (dans la région de Darwin en Australie) pendant notre voyage de noces: affamés par une journée de ballades et de baignades dans les JimJim Falls, nous l’avons mangée quand même, mais elle est gravée dans notre mémoire comme la plus mauvaise pizza de notre vie! (pâte épaisse et pas cuite, garniture au goût chimique et industriel, pizza collée au carton…) – le meilleur est celui d’un dîner au Clos des Cimes (chez Régis M.), qui débuta justement par un bonbon tomate et fraise. Ce petit amuse bouche a marqué le début d’un repas merveilleux et inoubliable!

14 décembre 2010 08:53 

Jux a dit…

Je suis passionnée de cuisine et pourtant il y a des choses FONDAMENTALES que je n’aime pas, mais alors pas du tout. C’est probablement une question d’éducation, mais le temps ne fait pas son oeuvre à ce niveau et les blocages capitalissimes restent bien présents. Parmi mes phobies les plus terribles se trouvent l’ail et l’oignon. La peur de me retrouver côté à côte avec Dracula en train de croquer dans une gousse d’ail crue a hanté plusieurs de mes cauchemards et a éclairé d’une lumière noire un passage de ma vie de pensionnaire alors que j’avais 14 ans. Interne dans un couvent de religieuses, j’avais « fait le mur » un soir avec mes amies mais étant en rase campagne l’intérêt de sortir était réduit et nous nous sommes retrouvées dans le potager des bonne soeurs. Cherchant une bétise à faire, une amie à attrapé un bulbe d’ail rose cru, l’a rapidement pelé et a croqué dedans. Chacune à son tour a alors machinalement répété le rite initiatique jusqu’à ce qu’à mon tour je fasse la même chose… Aucune personalité cette ado…Les 5 minutes qui ont suivies ont été terribles et mes cris de dégouts ont failli réveiller en plus des soeurs toute la pension. J’en garde un souvenir terrible accompagné de palpitations à 1000 à l’heure et mon haleine s’en souvient encore ! A l’inverse, j’ai découvert il y a moins de 6 mois la joie de cuisiner les entrements. Couches après couches je me régale des yeux et du ventre en préparant le gateau plusieurs jours à l’avance. Cherchant le Graal de ce met, j’ai fouillé sur le net pour arriver sur votre site et trouver The « Pistache Macaron Cake ». Mon mixeur n’a pas survécu à la fabrication de la pâte de pistache, probablement jaloux de savoir qu’il ne goûterait pas à ce dessert, mais moi je me suis régalée comme jamais en découvrant l’alternance de macaron croquant, praliné feuilleté sucré à souhait et de crème mousseline douce comme un nuage sur un lac de montagne; le tout surmonté d’un fondant pistaché et coloré d’un vert amande digne des plus douces publicités de lessives. Un souvenir XXL à refaire sans modération. Enfin quand j’aurais un nouveau mixeur…

14 décembre 2010 09:28 

Caroleninon a dit…

Mon pire souvenir culinaire remonte à 1988, j’avais 16 ans, et j’étais partie 3 semaines dans une famille en Nouvelle-Zélande, j’ai détesté les petits déjeuners avec de grosses tartines de pain de mie grillé couverte de beurre de cacahuète, les odeurs de bacon grillé et d’oeufs au petit matin. Les déjeuners et dîners n’étaient pas mieux. Je ne rêvais que de Mac Do pour pouvoir manger sans grimacer. Pour le meilleur, ca remonte à trèèèès loin, j’avais 9 ans (j’en ai 38 maintenant), c’était au Sénégal, la découverte de la tiéboudienne, assise autour du plat par terre, à manger avec les mains, dans une tribu avec des enfants sénégalais. J’ai bien d’autres jolis souvenirs mais celui là reste tellement gravé que j’ai l’impression que c’était hier.

14 décembre 2010 09:42 

david a dit…

Bonjour, la pire experience culinaire dont je ma souvienne est un paté de chauve souris aux seychelles. Comme ces gentilles bestioles ne se nourrissent que de mangues, j’avais l’impression de déguster une terrine sucré salé de mangue ! pas terrible. Et le meilleur souvenir, ou du moins la plus belle surprise, c’est cet été en ecosse. J’avais un a priori bien franchouillard sur la cuisine écossaise et plus particulierement sur le Haggis qui est un plat entouré de mystere mêlé a un sentiment de dégout….Et bien , c’est délicieux. C’est fin, ca n’a rien a envier a notre national Hachis parmentier (c’est du mot « Hachis » que vient le mot « Haggis »)C’est parfumé, pas gras, pas lourd et tout a fait adapté pour meubler une visite des distilleries de whisky !!

14 décembre 2010 10:48 

Titine a dit…

e pire : originaire du Nord mon arrière grand père avait l’habitude de manger chaque vendredi soir du « lait battu » cuit (le petit lait qui reste quand on fait le beurre) en guise de soupe et mes 2 soeurs et moi-même devions touiller dans la casserole en se pinçant le nez jusqu’à ébullition ! comme j’étais petite, j’avais 6 ans , on me grimpait sur un tabouret pour atteindre la casserole (bonjour la sécurité) mais c’était tellement horrible cette odeur aigre qu’aucune de nous ne se dévouait pour remplacer l’autre ! le jour où on laissait déborder, c’était le bouquet final ! 50 ans après on a encore l’odeur dans les narines quand on en parle ! le meilleur : l’oeuf au plat de l’amour … mon jeune mari, plein de bonnes intentions, me prépare le petit déjeûner au lit un dimanche matin avec un oeuf au plat et du bacon….hum !!!! sauf qu’il n’avait jamais cuisiné de sa vie (et depuis il a définitivement renoncé) et que l’oeuf était tellement archi-cuit et raide que j’aurais pu croquer dedans comme dans une tartine et le bacon sortait de son emballage et du frigo, cru et glacé ! je revois mon mari au pied du lit, heureux et attendant mes compliments, que je lui ai prodigués sans compter, ce qui m’a valu le même scénario pendant des semaines jusqu’à ce que je prenne la relève de ce qui est resté pour nous « l’oeuf au plat de l’amour », une exquise exclusivité à notre seul usage ….

14 décembre 2010 11:15 

celia a dit…

Hello, Comme quoi les meilleurs souvenirs peuvent être des choses très simples. Mon meilleur souvenir est une tortilla espagnol (pomme de terre/oignon) mangée débout dans un bar à tapas de Madrid. Serieusement rien à voir avec l’omelette compacte et calante que vous devez vous imaginer et qu’on voit même sous vide depuis peu dand nos supermarché. Non la l’omelette était superfondante, les pommes de terre cuite à la perfection et les oignos caramélisé donnait une super couleur à la tortilla… Mmmm j’en salive rien que de l’écrire. Quant à mon pire souvenir, il date de cet été en Croatie ou je me faisait une joie de pouvoir manger du poisson grillé et des fruits de mer tous les jours sur la côte. Malheureusement , sur 10 jours, pas une seule foie un resto nous a servi un poisson qui ne soit pas trop cuit. Et si vous aimez les fruits de mer et le poisson vous savez comme moi que la sur-cuisson des produits de la mer, c’est même pas comme la viande à savoir une question de gôut, pour le poisson c’est un carnage…Le tout devient sec, même très sec…. Immangeable. En plus c’est probablement pour ca que les restaurants se sentaient obligés de rajouter une grosse louche d’huile dessus… mais c’était trop tard… Je vous assure c’était pas dans un restaurant mais une dizaine, par forcement dans des endroits touristiques et de toutes gammes de prix…une grosse déception… Cel de Paris

14 décembre 2010 12:01 

bernie11 a dit…

Le pire : La cuisine birmane. J’avais demandé au patron français d’une agence birmane de m’organiser un cours de cuisine comme je le fais partout ou je vais en vacances. A mon arrivée à Rangoon, il m’a dit en rigolant : « goutez d’abord et si vous êtes fan, je vous organise ce stage ». Très rapidement, vu le manque de saveur et de variété des plats et après tenté d’avaler un plat où le serpent n’était pas absent, il n’était plus question de cours de cuisine birmane ! Le meilleur : Lors d’un séjour en Patagonie, après des semaines à manger du poisson sans goût ou de la viande toujours trop cuite, accompagnée de l’éternelle purée, j’ai découvert le restaurant El Muro à El Chalten à la suite d’une épuisante randonnée dans le froid et la pluie. Je me suis régalé du meilleur (et gigantesque) « bife de lomo » du monde, saignant et tendre à souhait, accompagné d’une ribambelle de légumes frais du jardin et d’une bouteille d’un superbe Malbec. Ce fut ma cantine pour le reste du séjour !

14 décembre 2010 13:50 

Sly a dit…

Sly: Mon pire souvenir : les  » anguilles à la sauce Jean Pierre  » ( JP étant mon meilleur ami ) : un gout rance dès qu’on les met en bouche, et dès qu’on mâche (vraiment pour lui faire plaisir, parce le gout rance déjà a fait dire « STOP » à mon palais) , des bruits et une sensation bizarre sous les dents –> Il avait laissé les anguilles décongeler tranquillement (dans un sac collé au radiateur de la cuisine –> elles ont du tourner, et ne savait manifestement pas qu’il y avait du sable dans les anguilles et qu’il fallait les laver (d’où le croquant sous la dent) Heureusement en dessert il y avait des fruits ( au moins j’étais sure qu’il n’avait pas à les cuisiner) Mon meilleur souvenir : cette assiette de frites de bananes plantain accompagnant ce merveilleux tilapia aux oignons fumants qui a définitivement marqué la fin de mon régime DUKAN Dailleurs, message à maman pour noel : si je me rend compte que les blinis sont fait au son d’avoine et que l’ile flotante est cuisinée sans flotant car  » Dukan interdit trop de jaune d’oeuf » , je me fais adopter par une autre famille pour les fêtes, je te préviens).

14 décembre 2010 13:57 

Anonyme a dit…

ALEX NOISY/ mon meilleur souvenir fut l’un de mes anniversaire avec une tarte ananas (ananas frais juste confit, pate sablée) avec un fond de ganache chocolat au lait noisettes…hummm mon dieu j’en salive encore rien que d’y penser!!! (très bon chocolatier patissier de nantes G…) la pire experience fut dans un restaurant chinois où j’ai voulu tester un plat original (gouter des choses completement différentes une chose qui sort de l’ordinaire) je ne me souviens plus le nom de ce plat mais c’etait des nouilles sautées au tofu et crevettes fermentées tout cela dans une soupe chaude et bien la je vous laisse imaginer le resultat pas très appétissant d’une part visuelle (cela ressemblait au  » rendu  » du chef) mais bon je goute et la ce fut un supplice pour avaler ma bouchée. Bonne préparation du repas de noel à tous ALEX NOISY

14 décembre 2010 14:47 

Cybione a dit…

Je pourrais dire que mon meilleur souvenir de cuisine est également mon pire… C’était dans les années 70, à l’orée de la nouvelle cuisine, alors que de nouveaux restaurants émergeaient, forts d’une gastronomie révolutionnaire. Habitant le sud de la France, nous recevions des membres parisiens de notre famille qui, pour nous remercier, avaient prévu de nous inviter dans un nouveau restaurant qui venait de se monter à Nice, chaudement recommandé dans un article élogieux (qu’ils avaient soigneusement découpé). Ils se faisaient une joie de nous faire découvrir ce restaurant que nous, pourtant de la région, ne connaissions pas, tout heureux de ce futur grand moment gastronomique. Et nous voilà, après réservation, y allant endimanchés et curieux, voire fébrile en ce qui me concerne : adolescente, j’avais (enfin !) la possibilité de découvrir ces fameux plats, bien éloignés de la cuisine « traditionnelle », lourde et roborative, qui était de mise dans les restaurants que fréquentaient mes parents (qui, je dois l’avouer, privilégiaient la quantité au raffinement). Le cadre était délicieux, la table jolie, le service raffiné : surprise, un petit pain nous était posé délicatement sur notre assiette, au lieu de la traditionnelle corbeille. Puis vint le moment des commandes : qu’il était difficile de choisir entre tous ces plats aux noms précieux qu’il fallait nous faire expliquer ! Pendant l’apéritif, quelques petites bouchées nous étaient servies : le repas commençait bien ! Cependant, le service se faisait attendre, et quelle stupeur quand vinrent les plats. Délicieux, certes, comme annoncé, ils péchaient néanmoins par leurs portions plus que congrues : quelques bouchées étaient artistiquement présentées, voisinant avec une feuille de salade ou une rondelle de carotte pochée. Je me souviens quant à moi de quatre tranches de boudin noir au riz et au basilic, spécialité locale, dont le goût me ravit, chaque bouchée explosant en bouche et délivrant des parfums de basilic, ainsi que de quatre (quatre, là encore !) gambas grillées, servies avec un beurre manié (et deux cuillers de riz). Puis d’une quenelle de glace, servie avec une tuile faite maison, dont le goût de beurre était rehaussé par le craquant sucré, presque caramélisé. C’était la révolution dans mon palais : je découvrais une cuisine parfumée, délicate, dans laquelle saveurs et parfums se répondaient, telle une symphonie orchestrée de main de maître… Tout un monde d’expériences s’entr’ouvrait devant moi : une révélation ! Cependant, le pire restait à venir : la FAIM ! Oui, vous avez bien lu, car les plats, quoique jolis ne suffisaient pas à nourrir quiconque, même l’adolescente malingre que j’étais. Pire, le serveur, d’un air hautain, avait refusé de nous resservir en pain, arguant que cette cuisine se suffisait à elle-même ; il avait d’ailleurs sous-entendu que les béotiens que nous étions ignoraient que le pain n’était qu’un léger accompagnement, nullement destiné à rassasier les convives. Bref, nous repartîmes l’estomac aussi vide que le portefeuille de notre cousin, car l’addition était inversement proportionnelle à la quantité de nourriture ingérée. Tant et si bien, qu’à peine sortis (en plein milieu d’après-midi, car le service avait été très long), nous nous précipitâmes tous dans le bar le plus proche pour commander des sandwiches que nous dévorâmes avec appétit. Vous rirez certainement, mais, voilà plus de trente ans, cette cuisine (et ce raffinement) étaient encore inconnus du commun des mortels. Inutile de vous dire que mes parents ne remirent jamais les pieds dans des restaurants gastronomiques vantés par les magazines… Quant à moi, je continue à apprécier (et cuisiner) ces petits plats raffinés. Heureusement, je ne suis plus jamais sortie de table en ayant faim !

14 décembre 2010 15:51 

mdnavarra a dit…

Bonjour, mon pire souvenir, je l’ai vécu (ou plutôt survécu) en Allemagne. Une grande tradition allemande consiste en la préparation et « dégustation » des Knoedel! quelle atrocité… Un véritable supplice, le genre de plat dont on préfère ignorer la recette pour ne pas trop se traumatiser. La palme d’or culinaire sera, en ce qui me concerne, décernée aux crêpes au chocolat caramel, avec dans le rôle principal ma grand mère aux fournaux, et dans les rôles secondaires ma sœur et moi qui adorions nous délecter de cette spécialité au gouter, avec un verre de lait. rien que d’y penser, ça fait rêver…

14 décembre 2010 19:43 

david a dit…

Mon pire souvenir est hélas car quotidien mon restaurant d’entreprise, le poisson ou la viande quel qu’il soit à le même goût… et le meilleur c’est le fantasme que j’ai d’aller déguster la cuisine du jour au « youpala » chez jean-marie Baudic à saint-brieuc…

14 décembre 2010 20:40 

khyrian a dit…

Mes meilleurs souvenirs viennent sans doute de mon enfance, de choses simples, savoureuses préparées par ma mère. Chez nous on exprime que très peu ses sentiments, mais je pense que c’était sa façon de me dire je t’aime en me faisant plaisir avec de bon petits plats. Donc mon meilleur souvenir restera sans doute sa blanquette de veau, qui fut réalisée par la suite avec de l’agneau, plus goutue ! Petite, ce plat provoquait en moi tellement de plaisir, que ma mère disait que je « chantais ». En fait, en mangeant j’avais de doux petits ‘mmmmmmmm’ de satifaction qui partaient du fond de la gorge, un peu comme un chat qui ronrone, totalement incontrôlables 🙂 C’est sans doute pourquoi la blanquette d’agneau reste encore aujourd’hui un de mes plats préféré. Ma plus mauvaise expérience, bizarrement elle vient d’un chef étoilé assez reconnu. Ses expérimentations culinaires d’ordinaires excellentes, m’ont laissée quelque peu perplexe, de même que les 3 autres convives qui étaient à ma la table. Il s’agissait d’un macaron à la moutarde à l’ancienne et aux petits légumes. Je ne saurais l’expliquer, mais aucun d’entre nous n’a pu venir à bout de ce petit macaron d’accompagnement, sans doute trop sucré, la mariage semblait bizarre avec la moutarde en grain, et le macaron semblait comme détrempé et sa tenue en bouche n’était pas très agréable.

14 décembre 2010 23:55 

ALEX a dit…

Ma Meilleure Expérience Culinaire…A l’Ile Maurice, début de soirée, sympa avec des copines, un petit coktail des îles à la main… 33°C, le bruit de la mer, le temps sans heure, et une toute petite douleur en haut du dos, à cause de l’écran total qui a sauté de mon sac, restant à Paris, tout ça pour ne pas être sur mon dos… Et de cette ambiance si douce et calme des choses de là bas émanait aussi une ambiance euphorique des éclats de rire de mes copines… Puis tout d’un coup, que vois je…. Le plat de résistance… Le voilà qui arrive,ça sentait si bon… Une odeur de vanille et d’épices, une chaleur se dégageant de cette odeur… Le plat avait l’air si bon…je n’avais rien commandé pourtant, je n’attendais rien… Mais mon dieu qu’il avait l’air bon… je n’ai pas souhaité goûter ce met qui semblait si délicieux de suite, car je pense que la dégustation se fait dans un premier temps avec les yeux… Puis n’osant toucher ce que je pensait être une erreur de service, je regardais mes amies pour savoir si il s’agissait d’une blague… L’odeur de ce plat de résistance hors menu, semblait avoir arrêté le temps… Puis je me suis enfin laissée tenté par ce délice des îles… Une dégustation qui dura toute la nuit… Une dégustation digne de ce nom… Ce plat s’appelait Yanta… Un plat Magique… Que je n’ai plus jamais vu servi ailleurs… Un plat dont je me souviens encore l’odeur, les mains, le visage… Mon Dieu… Quel Bonheur!!!!! Mon pire souvenir Culinaire….Avalé en 30 seconde à Bali…Une horreur… Steve, si tu me lis excuse moi…mais vraiment, c’était limite à ce que je parte sans payer… Même si tu étais gratuit…:-))))Heureusement que les concours existent… ainsi, ta catastrophe aura eu sa gloire de 10 lignes… Mes hommages très cher… et merci de m’avoir prouvé que ce n’est pas car un homme sait faire rire une femme, qu’il est forcément un merveilleux cuisinier 😉

15 décembre 2010 00:42 

sebastien a dit…

Ma pire expérience : Ce fut au canada, dans le Saskatchewan plus précisement. J’avais décidé de faire gouter à ma famille d’accueil, le produit qui était pour moi le plus représentatif et le plus transportable de France : le foie gras !! Foie gras réalisé par un petit producteur d’aveyron, absolument délicieux. Je n’ai pas voulu l’offrir le premier jour, non j’ai attendu, attendu le bon moment, celui auquel nous serions à même de le déguster dans les meilleures conditions. Pendant ce temps j’ai peaufiné ma recette pour faire du pain maison changeant du pain de mie insipide auquel ils étaient habitués. Et voila le jour est arrivé, l’anniversaire de ma mère d’accueil, le 21 janvier 2006. Je prépare une confiture d’onion, je découpe le pain, je le toaste légèrement, j’ouvre la boite de foie gras, j’apporte le tout sur la table, petite présentation du produit, dégustation. C’est là que tout bascule : sourire poli, une gorgée de vin aromatisé, fin de l’expérience. Bilan : une boite de foie gras à finir seul ! Les 4 jours suivants je goutais au foie gras avec un ami suisse qui lui appréciait aussi ces choses là… J’ai pris conscience de la relativité des gouts ! Meilleure expérience : Mon père pour féter la fin des vendanges à décidé de nous amener moi et ma soeur alors respectivement de 10 et 7 ans dans un restaurant étoilé de la région. Ce repas est et restera comme le plus marquant de ma vie. Le nombre de plats, la diligence des serveurs et surtout les plats … aaahh ces saveurs, ces produits … j’en suis encore tout ému. En particulier des cannellonis aux oeufs de truite et encre de seiche, cette sensation des oeufs croquant sous la dent et déversant son jus iodé dans ma petite bouche ! Et en fin de repas le chef sort de son antre pour faire sa tournée des tables et s’arrête à notre table, c’était décidé je voulais être « cuisinier de grand restaurant » ! Un repas inoubliable !!

15 décembre 2010 00:57 

Guillaume a dit…

Ma meilleure expérience culinaire : Premières vraies vacances à l’étranger, destination… Vietnam! Le soir de notre arrivée, coïncidence du calendrier, les Vietnamiens fêtaient le millénaire de Hanoi. Fatigués et déboussolés nos estomacs criaient famine . Nous poussons la porte d’un petit restaurant quasi vide à l’écart de la foule sans savoir que nos papilles allaient connaître un réel bonheur. Notre premier met à la mode vietnamienne se fut des nems. Première bouchée et… explosion de saveur, explosion de senteur, une texture des plus agréable. Instant suspendu! La moins bonne expérience : Comme beaucoup, je pense avoir été frustré par les épinards étant petit, bien évidemment à la cantine de l’école. Plus d’ 1h30 pour avaler une cuillère de cette « préparation sans mot ». Très longtemps j’en ai fait mon deuil, puis les années passent, parait-il que les goûts changent… et ma curiosité étant trop grande pour résister, je me surprends de temps à autre à déguster (oui j’ai bien dit « déguster »), le plat préféré de Popeye! Guillaume.

15 décembre 2010 11:19 

KaraChiwie a dit…

(J’ai jamais vu autant de commentaires sur ce blog…) Ma meilleure expérience fut dans un restaurant japonais à Bordeaux où le chef a réussi à me faire aimer les huîtres. J’ai beau être du bassin d’Arcachon, ces petites bêtes font rarement parties de mes achats. La pire fut dans un restaurant gastronomique où le dessert fut immangeable.. Le sel avait remplacé le sucre. On a bien ri. Le chef est venu s’excuser, mais son maître patissier a passé un sale quart d’heure, toute la salle l’a entendu 🙂

15 décembre 2010 18:46 

Anonyme a dit…

Le plus beau souvenir…..Des oeufs brouillés servis avec du caviar… Malgré une appréhension ( voir mauvais souvenir)Je ne suis pas une adepte des oeufs .Mais là c’ était juste ….sublime..Léger, présent,à tomber par terre… Le pire..un invitation chez mes futurs beaux parents qui se sont fait une joie de m’ offrir du caviar beluga ( pour la note exotique offert par la Shabanou elle- même).Caviar que j’ ai avalé tout rond surtout sans le croquer..Si j’ avais pu y mettre 4 tonnes de citron, je l’ aurais fait. Bref, même aujourd’ hui c ‘ est non sauf pour ….le meilleur souvenir cité plus haut

15 décembre 2010 20:28 

Anonyme a dit…

le pire:Nous avions prété notre petite maison de week-end à des amis anglais et ils nous avaient invite à déjeuner le dimanche midi .Nous avions eu une semaine très chargée et nous étions ravis de passer à la campagne cette si belle journée du mois d’aout .Nous apportions une bonne bouteille de champagne bien fraîche .nous étions sur place à 12h30 ,la bonne heure pour l’apéritif ,mais non c’était l’heure du repas pour les anglais ,donc nous nous mettons à table aussitôt.En entrée une tomate pour six!!j’ai bien dit une tomate posée sur la table sans sauce et même pas présentée. Le plat des pattes de poulets cuites à l’eau servies dans des assiettes à soupe (berk…)avec du riz à l’eau trop cuit donc pâteux lui aussi. Comme dessert un quart de camenbert coulant (toujours pour six) mais le comble c’est qu’ils ont choisi ce moment pour servir notre champagne bien chauffé par le soleil car ils avaient oublié de le mettre au réfrigérateur!!! j’en ai encore des frissons en repensant à cette journée.Et vous n’allez pas le croire nous n’avons pas échappé au repas du soir pour finir les restes !!!donc mon plus mauvais c’est chez moi. le meilleur; J’avais subi une intervention chirurgicale qui avait entrainé un jeûne de plusieurs jours ,c’est à dire que je n’avais droit qu’à un bouillon léger de la clinique et ma mère est arrivée avec un plat d’épinards frais cuisinés par ses soins à la crème et au beurre salé.J’en salive encore.

16 décembre 2010 02:42 

Kikoliv a dit…

Ma pire et ma meilleure expérience : Chez la grand-mère bretonne de mon épouse, nous avons commencé le repas par des huîtres, puis des langoustines et du crabe avec de la mayonnaise. En plat principal, nous avons mangé du « kig ha farz » : il s’agit de far (ça ressemble à un pâte à crèpes, à base de farine de froment ou de blé noir, cuite dans un sac) accompagné de lard, de boeuf en pot au feu et d’une très légère sauce « le lipig » composée d’oignons revenus dans du beurre (au moins 500g pour que ce soit bon). Au dessert, la grand-mère avait préparé une tarte aux pommes, qui baignait dans son beurre, et, pour finir en légèreté, une bûche de Noël à la crème au café faite maison !!! Le soir nous devions aller manger avec des amis à la crêperie. Finalement j’ai choisi l’option Soirée au lit avec un bol de soupe pour soigner ma crise de foie !!! VIVE LA CUISINE BRETONNE !! C’était excellent pour les papilles mais difficile pour l’appareil digestif !!

18 décembre 2010 10:53 

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La cuisine de Bernard
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